Antony
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| Antony | |
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| Pays |
 |
|---|---|
| Région | Île-de-France |
| Département | Hauts-de-Seine (sous-préfecture) |
| Arrondissement | Arrondissement d'Antony (chef-lieu) |
| Canton | Canton d'Antony (chef-lieu) + canton de Bourg-la-Reine |
| Code INSEE | 92002 |
| Code postal | 92160 |
| Maire Mandat en cours |
Jean-Yves Sénant élu le 4 avril 2003 |
| Intercommunalité | communauté d'agglomération des Hauts de Bièvre |
| Latitude | |
| Longitude | |
| Altitude | 45 m (mini) – 103 m (maxi) |
| Superficie | 9,7 km2 |
| Population sans doubles comptes |
59 600 hab. (2005) |
| Densité | 6 261 hab./km2 |
Antony est une commune française, sous-préfecture du département des Hauts-de-Seine de la région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Antoniens.
Sommaire |
[modifier] Géographie
Antony est une ville de la banlieue sud de Paris, située dans le Hurepoix traversée par la rivière Bièvre, chef-lieu d'arrondissement des Hauts-de-Seine, à douze kilomètres au sud de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Son altitude est de 45 m pour le point le plus bas au niveau de la vallée de la Bièvre et 103 m pour le point le plus élevé à la limite de Châtenay-Malabry.
Antony a la particularité d'être au confluent de trois départements :
- l'Essonne, avec la communes de Verrières-le-Buisson à l'ouest, Wissous à l'est, Massy au sud,
- les Hauts-de-Seine, avec les communes de Châtenay-Malabry à l'ouest, Sceaux et Bourg-la-Reine au nord,
- le Val-de-Marne, avec les communes de Fresnes et l'Haÿ-les-Roses à l'est.
[modifier] Parcs
Plusieurs parcs se trouvent sur la commune, dont les deux plus importants : le parc de Sceaux et le parc Heller.
[modifier] Transports
6 stations du RER sont sur la commune :
- 5 stations du RER B. Du nord au sud :
- Parc de Sceaux,
- La Croix de Berny,
- Antony, seule station où tous les trains s'arrêtent. La nouvelle gare, entièrement reconstruite, a été mise en service en juin 2002, le trafic quotidien y est d'environ 30 000 voyageurs.
- Fontaine Michalon,
- Baconnets.
- La station Chemin d'Antony du RER C.
Par ailleurs, depuis 1991, on peut en quelques minutes rejoindre l'aéroport d'Orly par l'Orlyval à partir de la station Antony du RER B.
[modifier] Histoire
Les origines connues[1] de la ville remontent au IIIe siècle. Le nom « Antony » est d'origine latine, il provient d'un propriétaire gallo-ramain du nom d' Antonius, il est cité[2] dans une confirmation du roi Louis Ier le Pieux, faite aux abbés de Saint-Germain-des-Prés en 829, de la possession d'Antony où il est écrit Antoniacum cum ipsa capella. La commune s'est appelée Anthoniaco, Anthognyaco, Antoigni, Antongni, Antoni et Antony depuis le XVIIIe siècle, à l'exception d'une courte période pendant la révolution française où elle prit le nom d'Antony-Révolution.
Xème - XVème siècles: Antony fut l'une des principales dépendances de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Les habitants d'Antony étaient tous serfs de cette abbaye. Ils furent affranchis à partir de 1248.
XVIème-XVIIème siècles La route de Paris à Orléans est pavée sous François 1er . La route franchi la Bièvre au "Pont d'Antony" d'ou un chemin conduit au centre du village proche de l'église Saint Saturnin
XIXème siècle Antony resta essentiellement agricole jusqu'au XIXe siècle. La ville était connue pour son relais de poste aux chevaux qui accueillait les voyageurs au carrefour dénommé « Croix de Berny ». La construction du chemin de fer transforma profondément l'activité de la ville lorsque la ligne de Sceaux fut ouverte en 1854, ainsi que l'Arpajonnais à la fin du XIXe siècle.
XXème siècle Antony fut la première ville du département de la Seine libérée par les troupes de la 2e division blindée du général Leclerc.
[modifier] Monuments
- Église Saint-Saturnin : chœur de la fin du XIIe siècle, clocher du XIVe, nef du XVe siècle, chapelle sud moderne. Beaux vitraux de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle - orgue de qualité. Le beffroi soutient quatre cloches dont la plus ancienne, Charlotte-Genviève, date de 1730. Ce monument, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 19 octobre 1928 (référence PA00088057), a été l'objet d'importants travaux de rénovation ces dernières années. Le presbytère a été restauré en 1989. Inventaire Base Mérimée : IA00121273
- Église Saint-François d'Assise : construite en 1972 (Paul Henry, architecte)
- Église Saint-Jean-Porte-Latine : construite en 1967 (Paul Pinsard, architecte). Le "signal urbain", surmonté d'une croix géante, a été inauguré le 6 janvier 2002.
- Église Sainte-Jeanne-de-Chantal : le bâtiment provient de l'exposition coloniale de 1931. Pour ne pas la confondre avec l'église Sainte-Jeanne-de-Chantal située à Paris, on a ajouté le qualificatif "hors-les-murs" pour préciser qu'elle n'était pas dans les murs de Paris.
- Église Saint-Maxime : construite de 1978 à 1980 (Paul Henry, architecte), très bel orgue. L'église a été consacrée au culte catholique le 16 novembre 1980.
- Église Sainte-Odile : construite en 1933 (Charles Venner, architecte) dans le cadre des " chantiers du Cardinal ". Inventaire Base Mérimée : IA00121272
- Chapelle "Sainte-Marie Mère de l'Église" de l'Institution Sainte-Marie : construite en 1968 (Georges Dengler et Zunz, architectes), très belle et très grande paroi ajourée en briques, œuvre du maître-verrier Henri Martin-Granel, grande fresque de céramique de 41 m², œuvre de Jacqueline Bechet-Ferber
- Église évangéliste baptiste, entièrement reconstruite, inaugurée en mars 2001, architecture moderne, importants vitraux.
- La Maison Saint-Jean, ancienne propriété Chénier dite de la Belle Levantine. Ce bâtiment a été construit par Louis-Sauveur Chénier, fils cadet de Louis Chénier, et frère d'André Chénier sur les plans de l'architecte Georges Auguste Ranchon. Cette maison a appartenu à Jean-Charles Persil, ministre de Louis-Philippe, qui y mourut en 1870. Elle appartient aujourd'hui à la communauté marianiste d'Antony. Les façades et la toiture de ce bâtiment ont été inscrites à l'inventaire supplémentaire des momuments historiques par arrêté du 21 novembre 1973 (référence PA00088059). Inventaire Base Mérimée : IA00121237
- Ancienne manufacture royale des cires (14 avenue du Bois-de-Verrières) :
dont le nom exact était "Manufacture d'Antony pour le blanchissage des cires & la fabrique des bougies". Cette manufacture a été fondée en 1702 par Péan de saint-Gilles, elle devient manufacture royale en 1719.
Le bâtiment d'origine a été construit en 1714, on y produisait bougies et chandelles pour la cour de Versailles et les autres châteaux de la région. Une horloge avec timbre à marteau surmonte le toit. On la surnomme "la Trudonne" en souvenir de Madame Trudon qui a offert cette horloge aux ouvriers de son mari. Ce bâtiment est aujourd'hui occupé par les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny qui s'y sont installées en 1890. Il a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des momuments historiques par arrêté du 10 avril 1929 (référence PA00088060). Inventaire Base Mérimée : IA00121241. La chapelle a été construite en 1930 sur les plans de l'architecte Hardy. La maison de maître a été démolie en 1961 après la vente du parc, pour laisser place à un ensemble d'immeubles collectifs.
[modifier] Equipements
[modifier] Enseignement
C'est en 1955 qu'est construite la Résidence universitaire Jean Zay, qui avec ses 2500 chambres, représente l'un des plus grands ensembles de logements étudiants en Europe.
La ville est située dans l'académie de Versailles. Deux instituts universitaires de formation des maîtres y sont implantés : l'IUFM Val-de-Bièvre et l'IUFM Léon-Jouhaux.
Les établissements publics de la ville sont :
- 15 écoles maternelles, dont :
- Paul Bert
- Ferdinand Buisson
- André Chénier
- Anatole France
- Jules Ferry
- Jean Moulin
- Adolphe Pajeaud
- Jean Zay
- 11 écoles élémentaires, dont :
- Paul Bert
- Émile Blanguernon
- Ferdinand Buisson, dans un nouveau bâtiment inauguré le 7 février 2003 par Luc Ferry, ministre de l'Éducation nationale
- Jules Ferry
- Anatole France
- Adolphe Pajeaud
- 5 collèges :
- La Fontaine
- Anne Frank dont le bâtiment, construit en 1978-1980, est une construction très originale. Il est le résultat de la "politique des modèles" : la municipalité ayant choisi l'un des modèles proposés par le ministère, et ayant ensuite demandé à deux architectes, Jean Nouvel et Gilbert Lézenès d'adapter le modèle en fonction de leur inspiration créative et des contraintes du terrain.
- Henri-Georges Adam (site officiel)
- Descartes
- François Furet (site officiel)
- 3 lycées
Elle compte également 3 établissements privés :
- l'école juive Ozar Hatorah,
- l'école nouvelle d'Antony (site officiel/)
- l'Institution Sainte-Marie, établissement marianiste (site officiel/)
[modifier] les principales installations sportives
- Le complexe sportif dit "stade de la croix de Berny", ou "Union sportive métropolitaine"
- Gaston Vrolix, ingénieur en chef de la RATP, crée en 1928 l'Union sportive métropolitaine (actuelle USMT). Il construit un complexe sportif sur l'emplacement d' une partie de l'ancien champ de courses de la croix de Berny, dont il transforme les écuries en vestiaires. La première tranche est commencée en 1928, le long de la R.N. 186 ; elle comprend : terrains de football, de rugby, de hockey, de basketball, de tennis, piscine, jeux pour enfants, gymnase, tir. Vers 1932 est construite la deuxième tranche plus au nord : terrains de rugby et de tennis, stade d' athlétisme. La troisième tranche comprend un fronton de pelote basque, et un vélodrome bâti en 1938 par un architecte hollandais (réplique en béton, de la piste de bois de Vigorelli à Milan).
- Inventaire Base Mérimée : IA00121243
- Le stade municipal Georges-Suant
- Le parc Georges-Heller
- Le stade Velpeau
- Le centre sportif Lionel-Terray
- Le gymnase Pierre-de-Coubertin
- Le gymnase des Rabats
- Le gymnase La Fontaine
- Le centre André-Malraux
- Le clos Jacques Cadet
- Le gymnase Anatole-France
- Le gymnase Pajeaud
- 6 terrains de basket en accès libre, en ville
- Les installations sportives dans le Parc de Sceaux
- Les salles et tennis de la Résidence Universitaire
- Le Poney Club
- Le boulodrome
- Le skate Park
- les 3 piscines (Lionel-Terray, Iris, Grenouillère)
- et tous les équipements sportifs des établissements scolaires (collèges et lycées)
[modifier] Administration
Antony est le principal centre de la communauté d'agglomération des Hauts de Bièvre
Le canton d'Antony ne comprend qu'une partie de la commune. L'autre partie appartient au canton de Bourg-la-Reine.
[modifier] Liste des maires
| Période | Identité | Parti | Qualité |
|---|---|---|---|
| depuis le 4 avril 2003 | Jean-Yves Sénant | UMP | Cadre à la SNCF |
| 30 mai 2002 - 4 avril 2003 | Raymond Sybille [3] | UMP | |
| 18 mars 2001 - 30 mai 2002 | Patrick Devedjian [4] | RPR | Avocat |
| 18 juin 1995 - 18 mars 2001 | Patrick Devedjian | RPR | Avocat |
| 19 mars 1989 - 18 juin 1995 | Patrick Devedjian | RPR | Avocat |
| 16 octobre 1983 - 19 mars 1989 | Patrick Devedjian | RPR | Avocat |
| 15 juin 1983 - 16 octobre 1983 | François-Noël Charles (nommé par le Préfet) | ||
| 13 mars 1983 - 15 juin 1983 | réélection d'André Aubry annulée [5] | ||
| 20 mars 1977 - 13 mars 1983 | André Aubry (1931 - ) | PCF | |
| 21 mars 1971 - 20 mars 1977 | Georges Suant (1913 - 1993) | Professeur de lettres | |
| 14 mars 1965 - 21 mars 1971 | Georges Suant (1913 - 1993) | Professeur de lettres | |
| 15 mars 1959 - 14 mars 1965 | Georges Suant (1913 - 1993) | PSA | Professeur de lettres |
| 4 mars 1955 - 15 mars 1959 | Georges Suant (1913 - 1993) | Professeur de lettres | |
| 27 février 1955 - 4 mars 1955 | Lucie Levenez (nommée par le Préfet) | ||
| 7 mai 1953 - 27 février 1955 | absence de maire [6] | ||
| 19 octobre 1947 - 7 mai 1953 | André Blaise | ||
| 13 mai 1945 - 19 octobre 1947 | Émile Seitz | ||
| 27 octobre 1944 - 13 mai 1945 | Henri Lasson | ||
| 9 mars 1941 - 27 octobre 1944 | Charles Defforge | ||
| 3 décembre 1940 - 9 mars 1941 | absence de maire [7] | ||
| 18 mai 1935 - 3 décembre 1940 | Auguste Mounié | Pharmacien | |
| 12 mai 1929 - 18 mai 1935 | Auguste Mounié | Pharmacien | |
| 17 mai 1925 - 12 mai 1929 | Auguste Mounié | Pharmacien | |
| 10 décembre 1919 - 17 mai 1925 | Auguste Mounié | Pharmacien | |
| 19 mai 1912 - 10 décembre 1919 | Auguste Mounié | Pharmacien | |
| 16 mai 1908 - 19 mai 1912 | Louis Langlois | ||
| 14 mai 1904 - 16 mai 1908 | Louis Langlois | ||
| 19 mai 1900 - 14 mai 1904 | Louis Langlois | ||
| 16 mai 1896 - 19 mai 1900 | Prosper Legouté |
[modifier] Démographie
| Antony : évolution démographique entre 1962 et 2005 | ||||||
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 |
|
46 483 |
56 638 | 57 540 | 54 610 | 57 771 | 59 855 | 59 600 |
[modifier] Personnalités
Sont nés à Antony :
- Auguste Champetier de Ribes, homme politique, né en 1882
- Louise de Vilmorin, écrivain, née en 1902
- Madeleine Lebeau, actrice de cinéma, née en 1923
- Philippe Duron, homme politique, né en 1946
- Stéphane et Nicolas Sirchis du groupe Indochine, frères jumeaux nés en 1959
- Élie Semoun, humoriste, acteur, écrivain, poète et chansonnier, né en 1963
- Agnès Jaoui, actrice, scénariste, réalisatrice et chanteuse, née en 1964
- Manuela Ramin-Osmundsen [2], avocate, présidente de la Direction Norvégienne de l'Immigration, née en 1964
- Pascale Doniguian [3], née en 1966
- Laurent Lafforgue, mathématicien, né en 1966, lauréat en 2002 de la prestigieuse médaille Fields (équivalent du Nobel en mathématiques)
- Christian Quesada, trois fois gagnant de la finale du jeu "des Chiffres et des Lettres"
Ont vécu une partie importante de leur vie à Antony :
- François Molé, acteur de théâtre. Après sa mort le 11 décembre 1802, et comme il l'avait souhaité, il fut enterré dans sa propriété dont l'entrée est toujours visible au 1 rue des sources, ainsi que son tombeau près de l'entrée du parc Heller, dans l'avenue qui porte son nom.
- Jean-Charles Persil, ministre de Louis-Philippe, mort dans sa maison à Antony en 1870
- Georges Nomarski, inventeur du microscope à contraste interférentiel, mort à Antony en 1997
- Georges Chaulet, écrivain, créateur de Fantômette, né en 1931
- Patrick Devedjian, maire de la ville de 1983 à 2002, ancien ministre, né en 1944
Voir aussi les résidents célèbres de la résidence universitaire Jean Zay.
[modifier] Jumelages
Antony est jumelée avec :
Reinickendorf, Allemagne, arrondissement de Berlin (250 000 hab.)
Lexington, États-Unis, dans l'État du Massachusetts (30 000 hab.)
Lewisham, Grande-Bretagne, au sud-est de Londres (248 000 hab.)
Eleftheroupolis, Grèce, au nord-est de la Grèce (20 000 hab.), le protocole de jumelage a été signé le 9 septembre 2000.
Sderot, Israël, au sud de Tel-Aviv (20 000 hab.)
Collegno, Italie, grande ville industrielle près de Turin (50 000 hab.)
Olomouc, République Tchèque, ville située à 200 km de Prague (102 000 hab.)
Protvino, Russie, ville située à 50 km de Moscou
Hammam-Lif, Tunisie, station balnéaire près de Tunis (50 000 hab.)
[modifier] Vie des Associations
Antony compte plus de 300 associations actives, dont 23 dans le domaine "quartier-environnement-habitat". Une des associations les plus actives est le CDR MaVal qui lutte contre l'instauration d'une autoroute ferroviaire entre Massy et Valenton. Le CDR MaVal, association apolitique, promeut une extension de la ligne TGV en site propre qui sauvegarderait la tranquilité de milliers de riverains. Le président du CDR MaVal est Jean Moureh et l'association compte plus de 200 membres.
[modifier] Sport
La pratique du sport est une priorité depuis de longues années à Antony :
- 40 disciplines y sont pratiquées,
- dans 40 salles et stades,
- grâce à plus de 50 clubs sportifs.
[modifier] Le tournoi de tennis handi-sport
Tous les ans en juillet, Antony organise au parc de Sceaux (La Grenouillère) le tournoi international de tennis handisport qui reçoit les meilleurs joueurs du monde. Le tournoi aura cette année lieu du mardi 26 juin au dimanche 1er juillet 2007.
[modifier] Les disciplines pratiquées et les associations sportives
Les associations sportives sont regroupées au sein du Conseil du Sport Antonien (C.S.A.).
Les principaux sports pratiqués :
- athlétisme
- basket-ball
- boxe
- cyclisme
- danse de compétition
- équitation
- escrime
- fitness
- football
- handball
- natation
- pétanque
- plongée sous-marine
- rugby
- tennis de table
- tir à l'arc
- roller
- street-hockey
- tennis
- volley-ball
- yoga
et les arts martiaux :
au sein des principales associations sportives :
- Antony Aïkido
- Antony basket
- Antony Berny cycliste - A.B.C.
- Antony natation
- Antony Sports
- Antony sport boxe
- Antony sport escrime
- Antony sport football
- Antony sport handi-club
- Antony sport judo
- Antony sport pétanque
- Antony sport rugby
- Antony Sport Tennis de Table
- Antony subaquatique plongée
- Antony Tae-kwon-do (ATKD)
- Antony volley-ball
- Archerie club d'Antony
- Arquebuse d'Antony
- Association Jeunesse Antony - A.J.A. (football)
- Club de plongée Sainte-Marie
- Club de roller d'Antony
- Club Sportif Portugais d'Antony
- Danses rock association
- Défis sport aventures
- École du kempo kung fu
- Entente athlétique Antony Sud 92
- Hand-ball club d'Antony
- Institut hoa long (arts martiaux du Vietnam)
- Jonctions Taï Chi Chuan
- Ju-Jutsu Club d'Antony
- Karaté club Antony
- Municipaux Antony Football Club
- Pego-sports
- Qwan Ki Do Antony (C.A.M.V.I.)
- Shotokan karaté Antony
- Sports loisirs Antony
- Sportivement Guillebaud
- Street sharks d'Antony
- Tennis club d'Antony
- Tennis club des retraités d'Antony (T.C.R.A.)
- Tennis club La Fontaine
- Yogins club Raymond Belval (Yoga)
[modifier] Voir aussi
[modifier] Articles connexes
[modifier] Liens externes
- Site officiel de la ville d'Antony
- Site de l'APPA, Association pour la sauvegarde et la promotion du patrimoine d'Antony
- Antony Sport Tennis de Table, Club de Tennis de Table d'Antony
[modifier] Bibliographie
- Monographie ANTONY, des origines à nos jours, sous la direction de Anne Fontaine, avec Alix Pouzet, Thérèse Chenot, Marie Claude Watrin, Jeannine Héreil et Françoise Libbe, ed. Connaissance d'Antony, 1987
- ANTONY cinq siècles de rues et de lieux-dits, Yvonne Firino, association pour la promotion du patrimoine d'Antony, APPA éditions 1998
[modifier] Sources, notes et Références
- ↑ Antony d'Y. Firino, éd. Maury
- ↑ Antony et son église d'A. Fontaine
- ↑ meurt le 4 avril 2003
- ↑ démissionne le 30 mai 2002 après avoir été nommé ministre
- ↑ après l'annulation de la réelection du maire sortant pour fraude électorale [1]
- ↑ à la suite de la dissolution du Conseil municipal après que le budget n'a pas été voté
- ↑ à la suite de la mort d'Auguste Mounié
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